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La diversité à l’écran

par Damien

La diversité à l’écran me fait du bien

J’aime le fait qu’Ariel puisse avoir la peau noire, que James Bond puisse être incarné par une femme, que la neurodiversité soit de plus en plus visible.

J’aime le fait que les séries et le cinéma nous donnent une diversité de personnages auxquels on puisse s’identifier.

Pour ma part, le personnage auquel je me suis le plus identifié n’est ni un héros de Marvel/DC utlramusclé, ni un homme blanc aux caractéristiques proches des miennes. C’est le personnage de Michael Burnham, incarné par Sonequa Martin-Green dans Star Trek Discovery (voir image). Contrôle excessif, sur-responsabilisation, rapport à l’autorité complexe. Tout ça, ça résonne bien. 

L’impact qu’aura eu la diversité à l’écran sur moi est loin de la perte de repères annoncée par les polémistes avides de scandales, mais plutôt de me donner une échappatoire à des modèles creux vecteurs d’une norme clairement dépassée, vers des personnages qui nous poussent à réfléchir et à avancer, adultes et enfants.